Pédagogies actives en sciences, c’est possible !

De la classe inversée à la classe renversée

Jean-Charles Cailliez, professeur de biologie cellulaire et moléculaire à Université catholique de Lille, explique sa pédagogie.

La start-up au service de la pédagogie. On va produire de la connaissance avec de l’intelligence collaborative.

Les 40 étudiants sont en groupes. Casser les affinités.

Premier quart d’heure d’exercices innovants. Puis s’organisent pour 2h. Clôture par des enquêtes de satisfaction.

Etudiants sont “payés” pour leur production. L’équipe a le même salaire. Avec des bonus. pas de points retirés. Aujourd’hui donne des “points”, soit du “capital” : ressortir du cours plus riche.

La méthode du tableau tournant. 3 minutes x 3.

40 professeurs, et un seul élève (Jean-Charles Caillez). Ils m’apprennent des choses !

Le fait d’enseigner et d’interroger permet d’apprendre.

L’examen : les étudiants construisent l’examen. Ensemble on a construit les questions. Seul sans documents mais connaissent toutes les questions. l’examen a servi non pas à contrôler mais à construire le cours. Inventé le devoir surveillé non surveillé qui ne s’arrête jamais.

Open entreprise ! Des profs, des administratifs se joignent. L’innovation c’est comme une canopée d’une forêt. Dont reposer sur des piliers académiques. Il faut continuer à faire des cours et travailler sur les fondamentaux.

Echange en communauté apprenantes d’enseignants, les Hackers, les désobéissants.

 

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